STRATONIKO, LE POÈTE AFFRANCHI.
Auteur
À PROPOS DE MOI
Écrire a toujours été une passion, et exposer le fruit de ces feuilles noircies, une épreuve. Mais la notion de partage étant plus forte que l'anxiété du jugement de l'autre, je me suis lancé, et ose désormais publier certains de mes textes, tout en développant un style littéraire que je rêve unique.
Continuez votre lecture pour en découvrir davantage sur mon travail et n'hésitez pas à prendre contact.
Ce sera un plaisir d'échanger avec vous.
StratOnikO
L' ANDALOUSE.
02 avril 2019
Tu étais belle, belle, ho, si belle,
Toi la femme andalouse qui dansais dans mes rêves,
Comme t’étais belle, belle, tell’ment belle,
Dans mes rêves de barbouze, tu troublais mon sommeil.
Tu étais belle, belle ho, si belle,
L’envoûtante danseuse, aux formes savoureuses.
Tu étais belle, belle, tell’ment belle,
Sensuelle enjôleuse, aux formes cajoleuses.
Tu étais belle, belle, ho, si belle,
Que les hommes amoureux, pour toi, faisaient la queue.
Comme t’étais belle, dans tes dentelles,
Les marins amoureux se perdaient dans tes nœuds.
Tu étais belle, belle, ho, si belle,
Tu habitais mes nuits, de tes pas de féline.
Comme t’étais belle, dans tes dentelles,
Tous les soirs à minuit, tu dansais pour la nuit.
Et là si je, ne rêve plus d’elle,
C’est que j’ai trouvé celle qui comble mes journées,
Et là si je, ne rêve plus d’elle,
C’est que j’ai comme épouse, une femme andalouse.
StratOniko.
ECRIT VAIN.
02 avril 2019
On dit que tes mots sont magiques, que tu les mènes à la baguette,
Que l'inspiration qui t'habite prend pas la poudre d'escampette.
Sous ton couvre-chef pointu, tu cogites, Ã te rendre ivre,
Que d'efforts et de langues fourchues pour écrire ton tout dernier livre.
A l'ouest, rien d' nouveau, mais pourtant tu y puises tes mots,
Comme s'il avait plu tantôt,
Et tu pries, pour que cette pluie, ne soit pas simplement le fruit,
Du hasard de ta vie.
Toi tu as l'art et la manière de faire des mots, des best-sellers,
T'es pas à l'abri mon Pépère de décrocher un Pulitzer.
Sors ton flouze mon joli barbouze, il faut que tu paies ta galtouse,
T'es devenu un vrai héros, tu peux même plus prendre le métro.
Moi je conserve ta dédicace, au plus près dans ma vieille besace,
Et qui sait dans un temps lointain, elle assurera mon vieux train-train.
Quand tu seras, six pieds sous terre, à écrire des poèmes en vers,
Que tu récit' ras aussitôt à ton assemblée d'asticots.
A l'ouest, rien d' nouveau, pourtant c'est là que tu trouves tes mots,
Comme s'il avait plu tantôt,
Vent d'est, ou vent d'ouest, rien ne peut assécher le reste,
T'es un leader digeste.
Admirateur de tes mots tôt, j'ai fini ton cycle tantôt,
A quand un nouveau numéro, je m'impatiente, je fais des sauts.
Toi l'écrivain, pas le poids plume, que tu agites sans amertume,
Noircis le papier, le vélin, fais nous partager tes destins.
A l'ouest, rien d' nouveau, pourtant c'est là que tu puises tes mots,
Comme s'il avait plu tantôt.
Ta tour, cette quête, chaque jour qui passe fait que je la guète,
Je m'en lasse pas, j' regrette.
Je ne sais pas si dans longtemps, je louerai encore ces moments,
Passés en ta belle compagnie, laissons l'avenir, nous le dire.
Mais saches que tu auras marqué, de ton encre, mon identité,
Et que non, je n'oublierai pas, que tu as façonné ma voie.
A l'ouest, rien d' nouveau, pourtant c'est là que tu puises tes mots,
Comme s'il avait plu tantôt.
Ta tour, cette quête, chaque jour qui passe fait que je la guette,
Je m'en lasse pas, j' regrette.
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StratOnikO
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« Comment serait la vie si nous n'avions pas le courage de tenter quoi que ce soit ? »